Italie....

http://www.lalibre.be/actu/international/article/664105/italie-la-droite-de-berlusconi-a-perdu-milan-et-naples.html

Italie: la droite de Berlusconi a perdu Milan et Naples AFP

Mis en ligne le 30/05/2011

La droite de Silvio Berlusconi a perdu Milan, capitale économique de l'Italie, où la gauche remporte 55,14% des voix après dépouillement des bulletins dans 1.195 des 1.251 bureaux de vote, selon le site du ministère de l'Intérieur.

Il paraît que les Italiens commencent à se rendre compte que les frasques de Berlusconi nuisent à l'image du pays et que le fait de passer son temps à faire des lois "sur mesure" empêche une bonne gestion du pays.
Si c'est le cas, il était temps!

http://www.lesoir.be/debats/editos/2011-05-31/l-apres-berlusconi-a-commence-843082.php

Un édito:

L’après- berlusconi a commencé
PHILIPPE REGNIER

mardi 31 mai 2011, 06:39
Les électeurs « sans cerveau » ont tranché : ceux que Silvio Berlusconi qualifiait avec mépris d’écervelés, parce que tentés de repousser les candidats de droite aux élections municipales de ces dimanche et lundi, ont infligé un camouflet historique au chef du gouvernement italien. La défaite des partisans du président du Conseil est sans précédent, à Naples, Cagliari ou Trieste et surtout – symbole suprême – à Milan, son fief, sa ville natale, le siège de son empire médiatique, la capitale économique du pays, cette ville qui a vu naître les grands phénomènes politiques en Italie : fascisme, socialisme, terrorisme…

Cette fois, c’est l’après-berlusconisme qui a commencé. La prudence des commentateurs de la vie politique de la Péninsule, rompus à la légendaire résilience de l’inoxydable milliardaire, s’est révélée injustifiée : le verdict des urnes est implacable. Tout indique désormais que le vent a tourné. Tout indique, simplement, qu’une majorité d’Italiens, si longtemps aimantés par la success story populiste du Cavaliere, jugent à présent que Berlusconi a dépassé les bornes de l’acceptable. Qu’il est résolument temps de tourner la page.

Propos grossiers – électeurs de gauche « sans cerveau », Milan menacée de devenir « Tziganopolis » –, promesses économiques non tenues, soupçons de fraude et de corruption, manipulation sans vergogne de l’espace audiovisuel privé comme public, comportement machiste dans une atmosphère de stupre sinon de prostitution de mineure et d’abus de pouvoir : la coupe était pleine. Et puisque la plupart des télévisions étaient muselées, c’est tout un peuple d’activistes, d’intellectuels, de citoyens excédés qui, sur les réseaux sociaux et quantité de « blogs », s’est levé contre les outrances de leur Premier ministre.

Certes, le scrutin était local. Certes, à Naples, les électeurs étaient préoccupés par leurs montagnes d’immondices. Mais une alternative à l’échelle de la nation paraît désormais s’ébaucher. Avec pour aiguillons ces Pisapia au Nord ou de Magistris au Sud, deux hommes de loi – un avocat et un ex-magistrat –, qui émergent en périphérie du traditionnel Parti démocrate de centre gauche. Lequel n’a, jusqu’ici, jamais vraiment réussi à faire trembler Berlusconi.

Mon avis...
Il est temps que ce superbe pays puisse redevenir fier de lui-même.
En Belgique, les brankignols de Charleroi et d'ailleurs sont tombés. La justice a pu faire son boulot en toute indépendance. En Italie, un homme concentrant pouvoir financier, pouvoir médiatique et pouvoir politique faisait voter des lois "sur mesure" pour le protéger de ses exactions.
Grave?
Ben tiens! Un peu comme si on avait voté une loi pour absoudre la chaudière de Carcassone dans une villa privée, payée avec les finances de la ville de Charleroi!
Et avec Berlusconi, c'est au centuple!
Les italiens semblent se réveiller...

Référendums : Berlusconi reconnaît sa défaite

http://www.lesoir.be/actualite/monde/2011-06-13/referendums-berlusconi-reconnait-sa-defaite-845432.php

lundi 13 juin 2011, 19:20

Humilié aux municipales, Silvio Berlusconi a subi un nouveau revers lors des référendums sur son immunité pénale, le nucléaire et la privatisation de l’eau. Le chef du gouvernement a reconnu sa défaite sur « tous les thèmes ».

Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a reconnu lundi sa défaite sur « tous les thèmes » des référendums de dimanche et lundi à travers lesquels les Italiens ont massivement rejeté un retour au nucléaire, la privatisation de l’eau et son immunité judiciaire. « Il apparaît clairement que la volonté des Italiens est nette sur tous les thèmes de ce vote », a déclaré le Cavaliere dans un communiqué de ses services.

Selon des résultats encore partiels du ministère de l’Intérieur, une majorité écrasante d’Italiens, entre 95 et 96 % ont voté « oui » pour faire abroger des lois du gouvernement Berlusconi sur ces dossiers. Il a estimé que « le gouvernement et le Parlement ont le devoir d’accepter pleinement les réponses données aux quatre référendums » portant sur le nucléaire, sa propre immunité judiciaire et la privatisation de l’eau (gestion et tarification).

Une forte affluence
M. Berlusconi a reconnu que « la forte affluence » aux référendums, avec un taux de 57 %, bien supérieur au quorum (50 % plus une voix), « démontre une volonté de participation des citoyens aux décisions sur notre avenir qui ne peut être ignorée ».

Quelle est encore la crédibilité d'un guignol après qu'une majorité de la population se soit prononcée sur le fait qu'il doive affronter la justice comme n'importe quel citoyen?
Il y a un vent de fraîcheur qui souffle sur ce magnifique pays!

Berlusconi pourrait échapper au procès Rubygate

http://www.lesoir.be/actualite/monde/2011-09-14/berlusconi-pourrait-echapper-au-proces-rubygate-863028.php

La Chambre haute a voté une motion visant à retirer du Tribunal de Milan le procès Rubygate dans lequel Silvio Berlusconi est poursuivi pour prostitution de mineure.



Ce n'est pas le pays de la mafia pour rien!
Le nombre de lois votées "sur mesure" pour protéger ce type de ses frasques et délits a dépassé le cap de la caricature.

Un si beau pays!
Enfin, c'est aux Italiens de dire quand ils en auront la nausée!

http://www.lesoir.be/actualite/monde/2011-11-07/berlusconi-pousse-vers-la-sortie-875298.php

Berlusconi poussé vers la sortie ?

Silvio Berlusconi est en « difficulté » après des défections au sein de son parti le PDL, a reconnu son entourage tandis qu’un proche conseiller évoquait même une « démission », immédiatement démentie par un des lieutenants du Cavaliere.

De toute manière, vu son âge, les problèmes judiciaires et son égo...
C'est quand même un fichu problème pour l'Italie...

Un si beau pays!

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20111108_00073324

C(est comme qui dirait que cela sent de plus en plus mauvais pour Berlusconi

« L’important, c’est de faire le bien pour le pays » : Berlusconi démissionnera

http://www.lesoir.be/actualite/monde/2011-11-08/l-important-c-est-de-faire-le-bien-pour-le-pays-berlusconi-demissionnera-875627.php

Des noms comme celui de l’ex-commissaire européen et économiste Mario Monti circulent aussi pour mener un éventuel gouvernement d’union nationale qui serait soutenu aussi bien par des formations de droite que de gauche.

Qu'il aille faire "bouga bounga" avec DSK si bon lui semble,
... mais surtout qu'il s'en aille et comparaisse en justice pour tout ce qui lui est reproché!

Ce gars est complètement déjanté par rapport à la vie réelle...

http://www.lesoir.be/debats/editos/2011-11-09/la-honte-de-nos-democraties-875727.php

Il aura fallu le temps pour que l"on s'en rende compte !!!

L'Italie est une grande famille....C'est honteux d'avoir fait çà à son parrain Je n'irai pas pleurer pour eux.....Je n'ai jamais voté pour Don Berlusconi moi

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/11/16/italie-le-professeur-monti-compose-un-gouvernement-de-professeurs_1604718_3214.html#ens_id=1191686

Italie : le professeur Monti compose un gouvernement de professeurs

"TÊTES D'ŒUF"

D'une manière générale, le gouvernement Monti se distingue par la compétence de ses membres – du moins sur le papier. A de rares exceptions près, les personnalités choisies ont toutes un curriculum en rapport à leur zone de compétence. A l'intérieur, Anna Cancellieri est préfète. A la justice, Paola Severino est vice-présidente du conseil de la magistrature et avocate pénaliste réputée.

A la défense, Giampaolo Di Paola est amiral et préside le comité militaire de l'OTAN. Aux affaires sociales, Elsa Fornero est une économiste spécialisée dans le problème des retraites. Le ministre des affaires étrangère, Giulio Terzi di Sant'Agata, est ambassadeur. Enfin, le ministre de l'éducation, Francesco Profumo, est recteur de l'université de Turin.

En comparaison avec la myriade de ministres plus ou moins compétents qui composaient le gouvernement précédent, il s'agit d'une révolution culturelle. Durant toutes les années de son règne, M. Berlusconi a fait davantage confiance à leur capacité à créer des polémiques quotidiennes (au prix parfois de belles gaffes) pour occuper les médias. Pendant ce temps, les experts tels que ceux qui devront désormais administrer l'Italie étaient raillés, traités de "têtes d'œuf", renvoyés à leurs chères études et tenus en lisière de toute visibilité. M. Monti les ramène à la lumière. C'est son premier mérite.

La logique démocratique veut que les ministres soient des élus épaulés par des experts.
Avec Berlusconi, l'Italie a atteint une telle crise de crédibilité, qu'il a fallu, en urgence, faire l'inverse!
Dans l'absolu, ce n'est pas bon pour la démocratie.
(Quel est le mandat de ces personnes qui ne sont pas élues?)
Mais en même temps, comment faire dans l'immédiat après le désastre causé par un bouffon sans scrupules, qui ne s'est fait élire que pour échapper à des condamnations!

Pour les polémiques, la Belgique est championne du monde.

http://www.lesoir.be/133729/article/actualite/monde/2012-12-06/berlusconi-fait-vaciller-gouvernement-monti

Le PDL de Berlusconi a privé à deux reprises le gouvernement Monti de son soutien lors des votes de confiance au Parlement mettant ainsi en péril l’exécutif italien.

Mais enfin!
Il a quel âge ce vieux con mafieux qui est venu en politique uniquement pour protéger ses intérêts et faire des lois sur mesure pour échapper à des procès?

Le plus inquiétant est de voir le nombre de naïfs qui le suivent !!!
Il y a bon nombre de gens à qui il suffit de promettre la lune pour qu'ils démarrent u quart de tour: voir Hitler, Mussollini , De Wever; Modrikanem and CO

C'est quoi ça?

La réaction de la Bourse de Milan ce lundi après l'annonce du retour de Berlusconi aux élections...

Ils vont devoir ajouter une feuille en bas à droite!

Matagagna a écrit:Ils vont devoir ajouter une feuille en bas à droite!

Et deux de plus s'il a encore des procès à éviter...
A l'analyse de différents journaux il ne sera pas réélu...

Ce qui est surprenant c'est de lire que le taux d'instruction en Italie est un des plus bas d'Europe au niveau de l'obtention des diplômes.
C'est ce qui aurait fait ses succès précédents.

La "télé" et le "moi rien comprendre" en sorte".
Pour un pays qui a reconnu ancestralement la bravoure des... "Belges"...
Hé fieu!

Berlusconi condamné à un an de prison

http://www.lalibre.be/actu/international/article/801689/berlusconi-condamne-a-un-an-de-prison.html

Il s'agit du premier de trois jugements attendus ce mois-ci pour le Cavaliere.

L'ex-chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a été condamné jeudi à un an de prison en première instance dans le procès sur le rachat de la banque Unipol dans lequel il était accusé d'avoir violé le secret de l'instruction, un jugement dont il devrait faire appel. Il s'agit du premier de trois jugements attendus ce mois-ci pour le Cavaliere, les deux autres concernant le procès en appel pour fraude fiscale (Mediaset) et celui en première instance pour prostitution de mineure et abus de pouvoir (Rubygate).

C'est pourtant un si beau pays!

Mais je pense qu'on y confond un peu "mafia" et "folklore".

http://www.lalibre.be/actu/international/article/806816/impasse-politique-napolitano-renverse-la-vapeur.html

Impasse politique: Napolitano renverse la vapeur

AFP

Mis en ligne le 30/03/2013

Le Mouvement M5s s'est réjouit que son voeu d'une République gérée par le parlement allait ainsi se réaliser.


Le président italien Giorgio Napolitano a renversé la vapeur samedi et renoncé dans l'immédiat à former un gouvernement, préférant créer des groupes de travail pour contraindre les partis à collaborer et à débloquer l'impasse politique.

A la surprise générale, M. Napolitano a décrété la mise en place à partir de mardi de "deux groupes restreints de personnalités" qui devront faire "des propositions de programme précises" pouvant être adoptées par une majorité des forces politiques. Aucune échéance ne leur a été imposée.

Le premier de ces groupes de "sages" se concentrera sur les réformes politico-institutionnelles (loi électorale, cause du casse-tête actuel), le deuxième sur les mesures économico-sociales. Ils prépareront un rapport à remettre soit à M. Napolitano d'ici à l'échéance de son mandat le 15 mai, soit à son successeur.

Dans la pratique, la solution proposée par le chef de l'Etat repousse la constitution d'un gouvernement qui n'aura peut-être pas lieu avant l'élection par le parlement du nouveau président au terme d'un long processus qui débutera le 15 avril.

Mais M. Napolitano a tenu à rassurer l'opinion publique italienne, les partenaires européens et les marchés financiers. Le pays n'est pas à la dérive puisque "le gouvernement bien que démissionnaire reste en place et il n'a pas été mis en minorité au Parlement", a souligné le président de 87 ans.

L'exécutif de l'ex-Commissaire européen Mario Monti est d'ailleurs "sur le point d'adopter des mesures urgentes pour l'économie, en accord avec l'Union européenne, et avec la contribution essentielle du nouveau Parlement" sorti des urnes, a-t-il noté.

La gauche majoritaire peine à former une coalition au Sénat

L'Italie est depuis les législatives de fin février dans un cul-de-sac politique avec un centre gauche disposant de la majorité absolue à la Chambre des députés mais pas au Sénat où s'opposent trois forces de poids similaire: la gauche de Pier Luigi Bersani, la droite berlusconienne et les contestataires de l'ex-humoriste Beppe Grillo.

Il y a une semaine, le président avait confié un mandat "exploratoire" à M. Bersani pour tenter de former un gouvernement, mais en vain. Le M5S de Grillo qui a canalisé un vote anti-partis traditionnels et anti-austérité, a réclamé un gouvernement sous ses propres couleurs, Berlusconi a proposé un pacte "faustien" à la gauche qui rejette tout accord avec son adversaire historique, et a tenté jusqu'au bout de séduire les "grillini" (membres du M5S).

Comme porte de sortie, M. Napolitano s'est inventé une solution inédite et s'est dit déterminé à "prendre des initiatives jusqu'au dernier jour" de son mandat pour résoudre la crise politique.

Il a aussi balayé les spéculations des médias sur son éventuelle démission, hypothèse extrême qui aurait avancé l'élection de son successeur et facilité la tenue de nouvelles élections législatives.

"Une manoeuvre habile"

Pour Stefano Folli, éditorialiste du Sole 24 Ore, le président a effectué "une manoeuvre habile qui n'engage pas trop les partis mais suffisamment pour créer une atmosphère de recherche de points de convergence et un cadre à l'intérieur duquel se dessinera probablement le nom du nouveau président" de la République.

Le Quirinal a communiqué samedi en fin d'après-midi la composition des groupes de travail. Pour les réformes institutionnelles, ce sera le constitutionnaliste Valerio Onida et trois politiciens pris à droite, au centre et à gauche. Pour l'économie, M. Napolitano a opté pour des experts: les présidents de l'Institut de statistiques Istat, de l'Autorité de la concurrence, un dirigeant de la Banque d'Italie ainsi que le ministre des Affaires européennes Enzo Moavero.

Beppe Grillo satisfait

Le Mouvement M5s s'est réjouit que son voeu d'une République gérée par le parlement allait ainsi se réaliser. "Le président Napolitano nous a donné raison: il y a un gouvernement en Italie qui agit avec la collaboration du parlement, je dirais même plus; il opère uniquement avec l'assentiment du parlement", a dit le chef de file des sénateurs du M5S Vito Crimi.

Selon Claudio Messora, coordinateur de la communication du M5S, "on peut faire des réformes limitées à 4 ou 5 lois" (loi électorale, aides aux PME, réduction des coûts de la politique) puis retourner voter.

Choix Civique de Mario Monti (qui n'a obtenu que 10% des voix aux élections) a également applaudi le choix de M. Napolitano qui "restitue leur centralité aux programmes", selon Andrea Olivero.

Pour le PD, M. Bersani a aussi approuvé, mais du bout des lèvres, affirmant: "nous sommes prêts à accompagner le parcours indiqué par le chef de l'Etat". Le PDL de Berlusconi, qui se sentait pousser des ailes suite à des sondages favorables et caressait l'idée d'élections cet été, a été le plus froid en accusant le PD d'avoir fait "perdre un mois" au pays et en réitérant son ultimatum: soit un gouvernement de "grande coalition" rassemblant toutes les forces soit un retour aux urnes.

Ils se prennent pour des politiciens belges.

Je ne me prend pas pour un génie mais face aux italiens, j'ai l'impression d'évoluer dans un autre monde !
VOTER POUR BERLUSCONI !!!! BEURK !!!!!

De fait, c'est incompréhensible pour n'importe quel esprit rationnel.
Berlusconi est un "truand" reconverti à la politique avant tout pour se protéger lui-même avec des lois sur mesures.

Dans un article j'ai lu qu'il y a la conjonction de deux facteurs qui provoquent son relatif "succès".
1) Le niveau d'étude moyen qui serait plus bas en Italie que dans la moyenne de l'Europe.
2) Son emprise sur les médias qui sont littéralement "sa propriété".

La conjonction des deux fait qu'il peut apparaître simultanément sur plusieurs chaines de télévision et annoncer n'importe quoi, comme par exemple la fin de la taxe sur l'habitation (le revenu cadastral à payer chez nous).

En Belgique on aimerait bien aussi ne plus avoir à la payer, mais on se poserait quand même la question de ce que cela provoquerait et comment elle serait compensée au niveau du Budget de l'Etat. La question serait dans tous les journaux le lendemain avec des analyses...

Visiblement pas trop en Italie vu qu'une partie importante de la presse "appartient" à Berlusconi.

Donc visiblement il peut à peu près raconter n'importe quoi sans contradiction. Et le faible niveau d'études en moyenne ferait que les gens ne se posent pas trop de questions...

Et pourtant c'est un si beau pays!

Demo dit: "Et pourtant c'est un si beau pays!"
La France aussi est un beau pays et pourtant, ils ont votés pour Flamby !!!

Tiens, ce serait l'occasion d'avoir l'avis de quelqu'un que nous n'avons plus entendu depuis longtemps ?

jeffry a écrit:Demo dit: "Et pourtant c'est un si beau pays!"
La France aussi est un beau pays et pourtant, ils ont votés pour Flamby !!!

Tiens, ce serait l'occasion d'avoir l'avis de quelqu'un que nous n'avons plus entendu depuis longtemps ?

Nadège m'a envoyé un mail depuis son train aujourd'hui...
Elle va bien avec une nouvelle vie...

http://www.lalibre.be/actu/international/article/814520/deuxieme-demande-de-renvoi-en-justice-de-berlusconi.html

Selon le Parquet, le Cavaliere a versé trois millions d'euros, dont deux millions en espèces, pour débaucher un homme politique.

(...)

La demande de renvoi en justice arrive au lendemain de la confirmation, en appel, d'une condamnation de Silvio Berlusconi à un an de prison pour fraude fiscale dans le procès Mediaset et d'une interdiction d'exercer toute fonction publique pendant cinq ans.

Celui-là... c'est à se demander dans quoi il n'a pas trempé et surtout POURQUOI il n'est pas encore en prison?

C'est vraiment l'exemple type de la malversation et de la magouille dans tous les domaines...

Aie Aie Aie Pauvre DON Berlusconi C'est pas bien de parler de son parain comme cela