Situations marrantes ou spéciales en vacances...LOL

Fort bien, revenons à nos vacances ménant...

On a quand même cette extraordinaire capacité à faire du flood, et à toujours retomber sur nos pattes sur ce forum.

Flidhais, un boulevard pour toi...

Pour en terminer avec Chypre, c’est vrai que je me souviens de beaucoup de détails.
Je pense que c’est normal lorsque l’on vit une situation aussi extrême.
C’est aussi dans ce genre de situation que l’on peut se rendre compte de ce que Balzac appelait "la comédie humaine".
Dans notre hôtel à Famagouste, nous étions une petite vingtaine de belge (là, je ne me rappelle plus le nombre exact). Par la force des choses, nous nous étions regroupés et sommes restés ensemble lors de l’évacuation et des différents passages dans les bases militaires.
Le dimanche dans l’après midi, il faisait chaud plus le temps passait, plus le patron (il s’appelait Fotos) augmentait le prix des boissons.
Nous avions repéré l’entrepôt et organisé une opération commando pour s’approvisionner.
Ayant découvert le manège, le patron a mis un cadenas sur la porte ce qui n’a pas découragé le peuple le plus brave de la Gaule et a encore fait monter d’un cran la protection des lieux : deux sbires munis de fusil de chasse montaient la garde. Là ce fut le coup classique de la diversion : On s’approche d’eux on leur parle gentiment et tout à coup on se retourne vers la mer en proclamant : Un bateau Turc. Ce qui eu pour effet de faire déguerpir les valeureux gardiens du tabernacle.

Autre anecdote, tous dans la même galère, il s’était petit à petit créé une certaine solidarité et une aide réciproque par le partage du peu de chose nécessaire qui nous restait : nourriture boisson et même ..... les tampax. Ben oui, au départ, "l’extension" n’était pas prévue.
Arrivé à la base d’Akrotiri, comme je l’ai expliqué nous avons aménagé notre dortoir dans la salle des fêtes. Là, les belges avaient envahi la scène, nous étions tous "groupir" là-haut.
Dans la bande, un "couple" formé par une mère et sa fille s’arrogeait tous les droits.
A peine arrivé, elles ont commencé à déballer leurs valises et occuper toute la place disponible sur les quelques planches mises à notre disposition pour les essuies.
Pendant ce temps, ma moitié était parti faire une reconnaissance du terrain et a découvert une buvette ou tout achat se négociait en livres anglaises que nous étions les seuls du groupe à posséder. Il achète une bouteille d’eau par couple (ses bras n’étant pas assez longs pour en prendre une pour chacun). Il remonte sur scène ou il est bien accueilli et distribue les bouteilles aux mains qui se tendent. A la fin, un couple n’avait pas sa ration mais la mère et la fille avait chacune là leur.
Un peu plus tard voilà ti pas qu’elles se retirent dans un coin où en catimini elles mangent leurs prunes sans en proposer aux autres.
Ca commençait tout doucement à énerver les nerfs.
C’est alors qu’en début de soirée des français nous rendent visite et nous signalent que dans leur avion il reste quatre places disponibles et s’il y en a parmi nous qui le souhaitent, ils peuvent en disposer. Il fallait donc choisir.
Conciliabule :
Un des couples dont le monsieur était aveugle et était venu pour se reposer à la suite de problème de santé demande pour en profiter. Accordé sans problème.
Pour le reste tout le monde avait envie de rester ensemble, on se regarde et hypocritement propose le couple dit de "pimbèches" qui évidement est d’accord.
Sur ce, elles ont eu une aide efficace pour réemballer leur affaires au plus vite, en subtilisant subrepticement au passage tout ce qui était comestible et que nous avons dégusté à leur santé après leur avoir souhaité bon voyage et bonne chance.
La bouteille d'eau était payée !!!!

Je me demande dans quelle mesure Flidhais n'a pas provoqué le coup d'état pour avoir de belles histoires à nous raconter

jeffry a écrit:Je me demande dans quelle mesure Flidhais n'a pas provoqué le coup d'état pour avoir de belles histoires à nous raconter

Et en juin et septembre 1976 j'étais en Roumanie.
Quelques mois plus tard un terrible tremblement de terre a ravagé Bucarest.

Par après, mes collègues me demandaient : Où vas-tu cette année que l'on évite.

Ou, tu vas à Londres, Qu'est-ce qu'elle t'a fait Elizabeth ?

Jeff, tu es bien taquin avec Flidhais!
Elle vit paisiblement chez nous et il ne se passe... rien.

Bon, on a bien Bart, mais ça c'est de ma faute.
Né un vendredi 13, tu penses!

Cà me rappelle la chanson de Michel Sardou: " le dossier D"

( si Melocoton passe par là, il pourrait vous le mettre en musique)

Pour le reste tout le monde avait envie de rester ensemble, on se regarde et hypocritement propose le couple dit de "pimbèches" qui évidement est d’accord.
Sur ce, elles ont eu une aide efficace pour réemballer leur affaires au plus vite, en subtilisant subrepticement au passage tout ce qui était comestible et que nous avons dégusté à leur santé après leur avoir souhaité bon voyage et bonne chance.
La bouteille d'eau était payée !!!!

Comme quoi, sans un peu de rationalité masculine, il y a parfois des choses qui flanchent.
Mais en fait je ne le pense pas, on est forcément complémentaires.

18 ans, c'est le bel âge!

J'avais pris le train pour rejoindre trois copains à la Côte d'Azur.

Bon, pas beaucoup dormi dans le train à couchettes. Ce n'était pas très confortable et en plus il y a eu dispute entre deux Anglaises et un Marseillais dans le compartiment pour l'ouverture ou la fermeture de la fenêtre.

Pas très reposé donc, et avec les différentes correspondances (bus etc), je pense que je n'ai eu le temps que de manger une pomme sur tout le trajet.

Arrivé chez les copains en soirée au camping, voilà ti pas qu'ils avaient fait connaissance avec deux couples de Hollandais logeant dans la tente voisine.
Charmants, ils nous ont fait fêter la soirée avec du Bols.

Crevé et avec seulement une pomme dans le ventre, c'était pas une bonne idée. Ma conscience s'est arrêtée à 9 h du soir. Paraît qu'on s'est encore baladé dans le camping après, mais ça je sais plus!

Le fait est qu'au milieu de la nuit, je me suis réveillé malade et paniqué, ne sachant pas où j'étais (dans la tente pourtant) et en hurlant à pleins poumons:
"Je vais mouriiiirr...., je vais mouriiiirr..."

Cela surprend dans un camping la nuit!

Visite des voisins avec lampe torche pour comprendre.

Des trois copains, l'un dormait dans la voiture, il n'a rien entendu. Le deuxième était allongé hors de la tente et répétait sans cesse: "Tais-toi, ma tête, mal"
Le troisième, pesant 60 kgs, (et le moins mal en point) a mis près de 10 minutes à ramener mes 85 kgs dans la tente en essayant de me calmer....

Le lendemain...
Celui qui dormait dans la voiture est allé acheter des provisions au central du camping et n'a pas très bien compris pourquoi on le menaçait de nous virer de là...

C'est là que j'ai découvert l'orangina et que j'y suis resté fidèle durant quelques jours...

Bande d'ivrognes.
Ca m'est arrivé une fois de ne plus savoir où j'étais, j'étais fatigué et je ne trouvais pas ma lampe de poche.
Je ne pouvais être qu'au camp de base, à Conacry, dans la brousse ou quelque part en Belgique.
Finalement je me trouvais quelque part en brousse.

Matagagna a écrit:Bande d'ivrognes.
Ca m'est arrivé une fois de ne plus savoir où j'étais, j'étais fatigué et je ne trouvais pas ma lampe de poche.
Je ne pouvais être qu'au camp de base, à Conacry, dans la brousse ou quelque part en Belgique.
Finalement je me trouvais quelque part en brousse.

C'était un malheureux concours de circonstances... (pour nous)
On fêtait la fin des humanités et on a été pris en traître...

Toi, tu étais en MISSION!
Cela requiert un minimum de sérieux!

Grâce à la "Vodka" (petite eau), un soir de novembre 1977 dans un hôtel à Oulianovk, j'ai vu ma garde-robe qui se balladait au plafond de la chambre.
Vous raconterez cela plus tard !

Flidhais a écrit:Grâce à la "Vodka" (petite eau), un soir de novembre 1977 dans un hôtel à Oulianovk, j'ai vu ma garde-robe qui se balladait au plafond de la chambre.
Vous raconterez cela plus tard !

Pas vrai ça? Pendant que je bossais dur... tu faisais déjà la fête!
Enervant ces gens qui prennent de l'avance...

Flidhais a écrit:Grâce à la "Vodka" (petite eau), un soir de novembre 1977 dans un hôtel à Oulianovk, j'ai vu ma garde-robe qui se balladait au plafond de la chambre.
Vous raconterez cela plus tard !

Tu étais chavirée? Heureusement que ce n'était pas sur le Titanic.

Il y a deux ans...

Petit village de pêcheurs à Wissant en France...

http://www.wissant.com/v5/index.php



Petit marché sympa où un démarcheur vend... des chaussettes, et rien que des chaussettes!
Il en faut beaucoup pour m'attirer vers un stand pareil...

Simplement, il y avait des cadeaux!
A l'achat de vingt paires de chaussettes pour 20 €, on en recevait une gratuite.

Mais pas seulement!
- un rasoir à trois têtes
- une tondeuse à barbe
- une grosse paire de jumelles
(le tout dans trois emballages parfaits avec mode d'emploi etc...)

Cela fonctionne toujours et en dépensant 20 € j'ai eu pour environ 150 € de "cadeaux".

Je vous donne l'adresse au cas où...