Pays de merde.

[quote="jeffry"][quote="LSIMON"]

jeffry a écrit:http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/775479/arrete-avec-4-kg-de-cocaine-il-est-relaxe-faute-d-interprete.html
OK Louis alors que l'on change la loi car il est aberrant de relâcher quelqu'un qui véhiculait quatre kilos de drogue ... et qui recommencera sans doute.
Je plains néanmoins les douaniers qui ont fait leur boulot et qui voient repasser devant eux le traficant qu'ils viennent d'attraper;

Mais Jeffry ne crois pas que je suis content de çà, c'est un scandale! Mais le Juge ne peut faire AUTREMENT que de le relacher, si on l'empêche de rendre la Justice comme elle DOIT l'être. C'est pas au Juge qu'il faut en vouloir mais à...notre pays de merde!
et en fait........en déconfiture financière

Le pire c'est que c'est une "déconfiture financière" qui est absurde!
La Belgique est l'un des pays les plus riches au monde!

La richesse cumulée des Belges dépasse la dette publique je pense, ou au moins la couvre très amplement.
C'est bien pour cela que la Belgique n'est pas plus "attaquée" par les marchés financiers.
Si "Tante Sidonie" a 120.000 € sur ses comptes, le banquier ne sera pas inquiet des 100.000 € de remboursement du prêt de sa maison.

L'absurdité, c'est que si la "Tante Sidonie" encaisse les loyers de 50 appartements, elle paiera peut-être 4 à 5 % de revenu cadastral.
Pendant ce temps là, "Oncle Arthur" sera taxé à 50 % sur la dernière tranche de son seul revenu mensuel de 2.000 €.

Personne n'aime les taxes, mais parfois il faut un peu rééquilibrer les choses...

Le droit de pisser
Droit d’exprimer son opinion en public, de faire des manifs si on n’est pas contents, droit de rire, de pleurer, de manger (même si on est loin du compte…). La liste est longue. Des droits qui nous sont octroyés, des droits que l’on pense suffisants. Mais c’est sans compter un de nos droits fondamentaux trop souvent oublié, un droit qui est respecté à peu près partout, sauf en Belgique… Le droit de pisser gratuitement, quand on en a envie, même si on n’a pas 30 centimes en poche.

par Jessica Mathy
En Belgique, si vous allez dans un fast-food, que vous consommez pour 20 euros d’hamburgers et de sodas et que vous désirez ensuite soulager votre vessie, il faut payer le préposé aux WC (dame pipi peut être un homme). Mais que faire si vous n’avez plus un cent ? S’il ne vous reste que votre carte de banque ? Deux options s’offrent alors à vous : persuader la dame à coups d’arguments béton, ou bien s’armer de patience et subir la sensation inconfortable voire la douleur de se retenir, les infections urinaires qui peuvent y faire suite…

Les clients en ont marre de payer pour assouvir un besoin naturel. Dans cette histoire, il y a d’un côté les pisseurs lésineurs et de l’autre, les « agents de maintenance » de la propreté. Deux camps qui s’opposent et qui ne se comprennent pas toujours.

« Trente centimes, c’est limite… »

Josiane, qui exerce la profession de « dame pipi » dans un fast-food estime que le prix demandé est insuffisant : « J’ai un statut d’indépendant, je dois payer les charges sociales, l’ONSS, l’Inami. Trente centimes, c’est limite… Sans compter qu’il y a des gens qui partent sans payer. Moi je demande qu’on me paie juste par respect. Et puis, il ne faut pas oublier qu’on doit aussi payer les torchons, les produits d’entretien, qu’on vient voler par la suite ! » Josiane n’est pas la seule à occuper ce poste. « On fait un roulement à trois, donc je ne travaille que deux jours par semaine. En plus, si parfois il y a beaucoup de passage, à d’autres moments, c’est beaucoup plus calme. Il m’arrive de n’avoir que cinquante clients sur une journée ! Ce que je gagne ici n’est pas suffisant pour vivre. Je complète mon salaire avec ma pension, mais elle n’est pas mirobolante… Ici, c’est juste pour arrondir les fins de mois. Vous savez, à mon âge, c’est difficile de trouver autre chose. Dame pipi, ce n’est pas mon métier. C’est juste par dépit ».

On comprend mieux à quoi servent ces 30 centimes que l’on dépose dans l’assiette. Certains clients sont toutefois récalcitrants à l’idée de payer. C’est le cas de Gaëlle, par exemple, une Bruxelloise qui juge que « si l’on paie, ça pourrait au moins être propre ! » Un avis qui n’est toutefois pas partagé par tous. « Quand on s’arrête sur une aire d’autoroute, on voit la différence entre la cahute perdue entre deux camions et dans laquelle il n’y a jamais de papier et les toilettes spacieuses à l’intérieur du restaurant ou du magasin. Je préfère payer et savoir que je m’assieds sur quelque chose de propre que d’économiser trois pièces et me boucher le nez… », raconte Sophie.

Une question juridique

Les pompes à essence ne sont en effet pas en reste au royaume du surréalisme. Lors d’un trajet Paris-Bruxelles, l’automobiliste a tout intérêt à se lâcher avant de passer la frontière car une fois en Belgique, il lui faudra payer. Mais pourquoi ici et pas là-bas ? Il s’agit d’une loi qui diffère entre les deux pays. En France, les WC dans les cafés sont gratuits parce que ces endroits sont considérés comme publics. En Belgique, si les toilettes relèvent d’un lieu public, l’accès y est gratuit (c’est le cas des bibliothèques), mais si elles dépendent d’une sphère privée (c’est le cas de nos cafés, brasseries et autres), le patron a le droit de fixer un prix à l’entrée. Certains cafetiers français n’hésitent pas à copier le modèle belge pour mettre un peu de beurre dans les épinards, allant jusqu’à demander des prix exorbitants.

A l’ère des Sanisettes

Mais que faire dès lors que l’on se refuse à débourser quoi que ce soit pour faire pipi ? S’accroupir derrière un arbuste, les fesses à l’air, en priant pour que personne ne passe à ce moment là ? Rien ne vous empêche de vous rendre dans les cabines prévues à cet effet et disséminées un peu partout dans le centre ville. Facilement reconnaissables grâce à leur couleur verte et à leur logo WC « machin chose », ces cabines vous permettent de vous soulager en toute quiétude. Néanmoins, il faut bien avouer que ça n’y sent pas la rose…

La ville de Liège a donc étudié le problème et créé les Sanisettes, des toilettes payantes (20 centimes) et propres, placées dans les endroits les plus fréquentés par les piétons. Au nombre de sept, même s’il n’y en a qu’une seule déjà installée, ces toilettes du futur, qui valent leur pesant de cacahuètes (10000 euros pièce), sont le nec plus utlra en matière de toilettes urbaines. Une hygiène qui se veut parfaite grâce à une désinfection en profondeur après chaque utilisation, un système de sécurité mis en place pour parer aux malaises, agressions ou incendies, avec un bouton directement relié au commissariat le plus proche ainsi qu’une caméra à actionner en cas d’urgence. Ces toilettes sont aussi accessibles aux personnes à mobilité réduite, même si le Gamah (Groupe d’Action pour une Meilleure Accessibilité aux Handicapés) reste sceptique. Il est vrai que placer le dérouleur de papier dans le dos de l’utilisateur n’était pas l’idée la plus brillante qui soit…

Rendez-vous donc Place de l’Yser et sur l’Esplanade du Commissaire Maigret pour vingt minutes (maximum) de tranquillité… Les sanisettes restantes sont installées Place Cockerill, Boulevard d’Avroy, Rue Charles Magnette, Rue du Parc et rue Saint-Léonard, mais ne seront accessibles au public que dans quelques semaines.

Les pipis insolites

Lorsqu’on vous demande quels sont les endroits les plus curieux, originaux ou saugrenus dans lesquels vous vous êtes déjà laissé aller, les réponses ne manquent pas. Toutes aussi déroutantes…

« Sur la vitrine du Quick à Liège, une nuit en revenant du Carré » (Denis).

« Dans la cour de récré de mon école primaire, à trois heures du matin » (Gaëlle).

« Dans la rue des diamantaires à Anvers, juste devant une caméra ! Et dans le parc de la Boverie aussi, un jour de fin d’exams quand il y avait des centaines d’étudiants présents autour de moi… » (Sarah).

« Sur le comptoir d’un bar, un soir où j’étais trop bourré pour aller aux toilettes » (Pol-Yvon).

« Dans le casier d’un de mes ennemis en secondaire » (Jérôme).

« Dans le jardin de mon ex petit-ami » (Claudia).

« Sur la voiture de mon père, avec des potes » (Pablo).

« Dans ma bouche, quand j’avais cinq ans » (André).

« En Suisse, dans un refuge en montagne. Il n’y avait qu’un trou et pas de chasse » (Alicia).

« Dans une cage d’escalier, et dans un parking public aussi ! » (Laurence).



http://c4.agora.eu.org/spip.php?article1297

En général je parviens à me contrôler et à toujours trouver un endroit correct!

Mais pour toi cela a vraiment l'air d'être un gros souci...

Mais je vois...





C'est vrai qu'on n'est jamais tranquille à la fin...

Il est vrai que demander 50 cents pour un pipi c'est cher !
Que Madame pipi se rassure, elle sera bientôt remplacée par une machine:
Dans certains endroits, on entre via une barrière après s'être acquitté évidemment d'une cotisation de 50 cents.On se soulage et le WC est nettoyé automatiquement.
Et HOP ! une chômeuse de plus.... à force de rouspéter.....

Je n'ai rien contre de payer pour un besoin naturel. Tant qu'on ne me demande pas "Vous avez fait la petite ou la grosse commission car le prix valu selon?"

Et les râleuses qui demandent un endroit propre pour s'y assoir...qu'elles apprennent la position du skieur. C'est le cas depuis bien longtemps chez Kinepolis Bxl.

Je suis peut-être parano mais je ne m'assois jamais sur les Wc autres que chez moi. Et ce, ni dans la famille ni chez les amis.

Que se soit 30 ou 50 cents, ce n'est pas la ruine tant qu'on ne va pas se soulager dans le publique chaque jour ou plusieurs fois par jour.

Mamz'aile a écrit:Je n'ai rien contre de payer pour un besoin naturel. Tant qu'on ne me demande pas "Vous avez fait la petite ou la grosse commission car le prix valu selon?"

Et les râleuses qui demandent un endroit propre pour s'y assoir...qu'elles apprennent la position du skieur. C'est le cas depuis bien longtemps chez Kinepolis Bxl.

Je suis peut-être parano mais je ne m'assois jamais sur les Wc autres que chez moi. Et ce, ni dans la famille ni chez les amis.

Que se soit 30 ou 50 cents, ce n'est pas la ruine tant qu'on ne va pas se soulager dans le publique chaque jour ou plusieurs fois par jour.

La position du skieur y est d'ailleurs détaillée en image

Matagagna a écrit:
Les pipis insolites

Lorsqu’on vous demande quels sont les endroits les plus curieux, originaux ou saugrenus dans lesquels vous vous êtes déjà laissé aller, les réponses ne manquent pas. Toutes aussi déroutantes…

L'interdiction la plus marante que j'ai vu, c'était, il y a plus de 50 ans sur un mur à l'arrière de la cathédrale de Namur.
"INTERDICTION DURINER"
Je durine, tu durines, il durine, etc.
et un petit plaisantain avait ajouté :
"Sous peine de confiscation de l'appareil"

Flidhais a écrit:

Matagagna a écrit:
Les pipis insolites

Lorsqu’on vous demande quels sont les endroits les plus curieux, originaux ou saugrenus dans lesquels vous vous êtes déjà laissé aller, les réponses ne manquent pas. Toutes aussi déroutantes…

L'interdiction la plus marante que j'ai vu, c'était, il y a plus de 50 ans sur un mur à l'arrière de la cathédrale de Namur.
"INTERDICTION DURINER"
Je durine, tu durines, il durine, etc.
et un petit plaisantain avait ajouté :
"Sous peine de confiscation de l'appareil"

Ca c'est typique Namurois DURINER

Mamz'aile a écrit:
Ca c'est typique Namurois DURINER

Ouais, c'est dur !

Ouais mais si tu n'as pas de pissotière ou que tu n'a pas de cents tu pisse dans ton pantalon ou tu deviens un dangereux criminel qui a déclenché la guerre bactériologique.

C'est là où ma femme commence à râler en parlant de l'égalité des sexes
C'est vrai que pour nous les hommes, un mur, un pneu, un poteau et hop !

La supériorité de mâle sur la femelle.

Matagagna a écrit:La supériorité de mâle sur la femelle.

A noter que certains mâles sont un peu cons parfois...

Stop au marketing sexiste dans les allées du Salon de l’Auto. Joëlle Milquet, vice-Première ministre CDH, en charge de l’Egalité des chances, s’en est prise aux services d’hôtesses recrutées par les constructeurs pour renseigner et, surtout, attirer les visiteurs. « Considérer que pour attirer le regard sur un objet, il faut presque mettre une femme comme un second objet, je ne pense pas que cela soit l’image la plus valorisante de la femme », justifiait-elle sur RTL-TVI.

La ministre, qui plaide pour un « féminisme du XXIe siècle » en réponse aux trop nombreuses discriminations et autres dérives machistes de l’heure, a écrit aux responsables du Salon et aux constructeurs pour leur demander de veiller à la tenue vestimentaire correcte des hôtesses. Lors de la journée réservée aux VIP, jeudi, le mot d’ordre avait été partiellement respecté. Une marque, Suzuki, avait même engagé des hommes. Un clin d’œil pour singer une polémique dont Joëlle Milquet ne souhaite plus trop parler tant elle a pris de l’ampleur. Avec des réactions vives comme en témoigne le courrier qui lui a été adressé.


http://www.lesoir.be/reactions/toutes/155703/0/0

http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/790331/vers-un-enterrement-penal-du-dossier-de-la-carolo-bis.html

Et voilà, on a laissé pourrir le problème, on en arrivera bientôt à " oublier" les égarements de Despiegeleer comme on a oublié les problèmes de Vancau

Digne d'une république banannière.

Effrayant, il n’y a pas d’autre mot. Dimanche dernier, Linda se rend au domicile de sa mère que celle-ci n’occupe pas actuellement pour cause de maladie. À sa grande surprise, elle ne parvient pas à entrer car… les serrures ont été changées à son insu.

Cela fait 10 jours que les squatteurs occupent la maison de Jeanine.
Qui plus est, elle voit que des gens qu’elle ne connaît pas sont à l’intérieur ! Il s’agit en fait de squatteurs qui ont pris possession de la maison alors que tout le mobilier et les effets personnels de sa maman s’y trouvent toujours !

C’est dans un état de désespoir total que Linda Geerts nous a contactés « parce que je ne sais plus quoi faire… »

Il y a trois ans, Jeanine, sa maman âgée aujourd’hui de 75 ans, contractait un cancer du côlon qui l’a conduite à l’hôpital, puis en maison de repos pour sa convalescence. Depuis elle n’habite plus dans sa maison de la rue des Tawes, à Liège, certes, « mais son but a toujours été d’y retourner dès qu’elle ira mieux, assure Linda. La maison n’a d’ailleurs pas été vidée et ses meubles, ses effets personnels et ses souvenirs y sont toujours. »

Régulièrement, Linda se rend au domicile de sa maman pour entretenir celui-ci. Et c’est lors d’une de ces visites, dimanche dernier, qu’elle s’est rendu compte que quelque chose n’allait pas. « Je n’ai pas su entrer car les serrures avaient été changées. Pire, des squatteurs étaient dans la maison et ne voulaient pas m’ouvrir la porte ! »

Deux au moins, certainement plus, Linda ne sait pas exactement. « Systématiquement, quand ils daignent me parler, ils le font de la fenêtre du 1 er étage. Ils m’expliquent qu’ils ont décidé de faire des travaux pour loger des SDF et prétendent avoir essayé de me contacter. Lorsque je leur demande où sont passées les affaires personnelles de ma mère, ils me répondent qu’ils ont « trié », nettoyé et tout mis dans une pièce. Mais de quel droit ? » s’offusque-t-elle d’une manière on ne peut plus logique.

Linda se rend alors compte qu’elle vit un véritable cauchemar. « La vie de ma mère et mon enfance ont été vues et manipulées par ces gens, notre intimité violée sans scrupule : ils ont vu ses albums photos, ses extraits de compte, ses dossiers médicaux… Par le voisinage, j’ai appris que toutes nos affaires personnelles partaient le lundi dans des sacs jaunes. Et je suppose que les objets ayant de la valeur ont eu un autre traitement… »

Pour Linda, c’est clair, il ne s’agit pas de SDF ou de gens dans le besoin mais bien « de squatteurs « pro » du style alter-mondialistes qui ont opté pour ce mode de vie et qui, surtout, connaissent bien mieux comment fonctionne notre système que moi. »

Et la police, prévenue bien sûr, que fait-elle ? Il faut dire qu’il y a une sorte de flou juridique autour du squat. Ou plutôt d’un « laisser-aller » juridique dans le cadre du droit à la propriété. « La police de Saint-Léonard est venue et un inspecteur a reconnu un des occupants comme faisant partie d’un groupe très bien organisé de squatteurs du quartier. La police m’a expliqué qu’elle ne pouvait rien faire sans un avis d’expulsion du juge. Ce qui est fou, c’est qu’on ne parle même pas d’un immeuble abandonné mais bien occupé ! »

Bref, Linda se sent bien seule et complètement dépourvue.« Ils me disent : « nous sommes là, nous avons des droits, un point c’est tout. » Et ma mère, elle n’en a pas des droits ? »
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Ils font ça par chez moi, ils vont directement à l'hôpital ou à la morgue.  


http://www.lameuse.be/833865/article/regions/liege/actualite/2013-10-13/alors-que-jeanine-vient-d-entrer-en-maison-de-repos-ils-squattent-sa-maison-a-

« La police de Saint-Léonard est venue et un inspecteur a reconnu un des occupants comme faisant partie d’un groupe très bien organisé de squatteurs du quartier. La police m’a expliqué qu’elle ne pouvait rien faire sans un avis d’expulsion du juge. Ce qui est fou, c’est qu’on ne parle même pas d’un immeuble abandonné mais bien occupé ! »

 

Je ne sais pas ce qu'en pense Louis, mais à partir du moment où il n'y a absolument aucune relation contractuelle entre propriétaire et "occupants", la police doit les déloger sur le champ!
Une autorisation d'un juge, c'est par rapport à une relation contractuelle à "défaire" par déficience d'une des parties.

S'il y a un mec dans mon salon qui n'y est pas invité, je peux encore le faire partir hein!  

On n'est pas encore en Palestine avec des colons sionistes qui volent les propriétés d'autrui... 

Je me demande dans quelle mesure le bourgmestre de Liège est impliqué dans ce genre d'histoire, en effet je connais un autre cas du même genre dans ce coin.  

Démocrate a écrit:« La police de Saint-Léonard est venue et un inspecteur a reconnu un des occupants comme faisant partie d’un groupe très bien organisé de squatteurs du quartier. La police m’a expliqué qu’elle ne pouvait rien faire sans un avis d’expulsion du juge. Ce qui est fou, c’est qu’on ne parle même pas d’un immeuble abandonné mais bien occupé ! »

 

Je ne sais pas ce qu'en pense Louis, mais à partir du moment où il n'y a absolument aucune relation contractuelle entre propriétaire et "occupants", la police doit les déloger sur le champ!
Une autorisation d'un juge, c'est par rapport à une relation contractuelle à "défaire" par déficience d'une des parties.

S'il y a un mec dans mon salon qui n'y est pas invité, je peux encore le faire partir hein!  

On n'est pas encore en Palestine avec des colons sionistes qui volent les propriétés d'autrui... 

Tsttst tst... J'ai personnellement été victime de tels squatteurs professionnels J'y ai perdu deux mois de loyer, et un nettoyage complet de l'appart. Il y a manifestement un vide juridique et quand le "locataire" est domicilié Il est INDEBOULONABLE sauf par décision du Juge de paix, décision définitive ( sans appel ni opposition), il faut que le jugement soit signifié par huissier au condamné
et enfin le huissier procède à l'expulsion........au frais du requérent..........Après cela on comprend certaines envies de meurtre... à l'ardenaise

  

Impensable!

   

Le mec qui est dans le salon, utilise le chauffage, l'eau, l'électricité (si cela fonctionne) il a quelle relation avec l'endroit?
Ce n'est pas sa propriété et il n'a aucune relation contractuelle!  

Demain je vais m'installer chez une autre voisine du coin pour avoir un point de vue différent de mon patelin!   

LSIMON a écrit:

Démocrate a écrit:« La police de Saint-Léonard est venue et un inspecteur a reconnu un des occupants comme faisant partie d’un groupe très bien organisé de squatteurs du quartier. La police m’a expliqué qu’elle ne pouvait rien faire sans un avis d’expulsion du juge. Ce qui est fou, c’est qu’on ne parle même pas d’un immeuble abandonné mais bien occupé ! »

 

Je ne sais pas ce qu'en pense Louis, mais à partir du moment où il n'y a absolument aucune relation contractuelle entre propriétaire et "occupants", la police doit les déloger sur le champ!
Une autorisation d'un juge, c'est par rapport à une relation contractuelle à "défaire" par déficience d'une des parties.

S'il y a un mec dans mon salon qui n'y est pas invité, je peux encore le faire partir hein!  

On n'est pas encore en Palestine avec des colons sionistes qui volent les propriétés d'autrui... 

Tsttst tst... J'ai personnellement été victime de tels squatteurs professionnels  J'y ai perdu deux mois de loyer, et un nettoyage complet de l'appart. Il y a manifestement un vide juridique et quand le "locataire" est domicilié Il est INDEBOULONABLE sauf par décision du Juge de paix, décision définitive ( sans appel ni opposition),  il faut que le jugement soit signifié par huissier au condamné
et enfin le huissier procède à l'expulsion........au frais du requérent..........Après cela on comprend certaines envies de meurtre... à l'ardenaise

C'est tellement plus simple dans mon pays!  

Ou comment on vous manipule.

http://www.bobards-dor.fr/2013/

Ou encore...

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20131015_00375643

http://french.ruvr.ru/news/2013_10_13/Une-etude-confirme-qu-Arafat-a-ete-empoisonne-au-polonium-210-6304/