Obama prêt pour un second mandat.

"Quand le feu se propage dans l'avion en plein vol, il n'y a pas vraiment d'issues de secours et l'accès à l'air frais est impossible car les hublots ne s'ouvrent pas. Je ne comprends pas pourquoi d'ailleurs. C'est un vrai problème..."

Je savais que les mormons se déplaçaient en carrioles tirées par des chevaux... mais de là à...

C'est pas possible!
La taille d'un hublot, il connaît?
La cabine pressurisée, il a eu connaissance du terme?
Le manque d'oxygène et le froid en altitude... il en a entendu parler?

Ce pays regorge de cerveaux, il n'y a qu'à penser à tous les exploits de la NASA.
A force de tirer vers l'extrême... c'est à se demander si les Républicains ne sont pas en train de faire un concours vers la connerie humaine!

Entre Sarah Palin et Mitt Romney... qui est le maillon faible?

Bush était tout aussi idiot mais le problème dans leur cas c'est que la connerie tue.

Matagagna a écrit:Bush était tout aussi idiot mais le problème dans leur cas c'est que la connerie tue.

Et quand on pense qu' Al Gore avait 500.000 voix de plus...

Oui, belle démocratie!

Si Obama est élu pour un second mandat, je pense qu'il aura les coudées franches pour résoudre le conflit Israélo-Palestinien, qui est quand même un des pire "point laxatif" du globe.
Durant son premier mandat il a dû faire face à la crise financière provoquée par des banques incontrôlables.
Il a malgré tout mené à bien une réforme qui protège tous les Américains de problèmes de santé.
Il a éliminé Ben Laden et poussé des portes vers le "multilatéralisme", la coopération entre les Etats.

Je pense que c'est un "Grand Président", qui fait ce qu'il faut faire.

Pour les autres..., je vais me taire!

"La tendance est favorable à Obama, mais prudence"

http://www.lesoir.be/112133/article/actualite/monde/presidentielle-usa-2012/2012-11-03/tendance-est-favorable-à-obama-mais-prudence

Les efforts des deux candidats étaient concentrés sur l’Ohio, un État clé dans cette présidentielle 2012. Selon les derniers sondages, c’est Barack Obama qui est en tête dans cet État. En Floride, la lutte s'annonce plus serrée. Le commentaire de notre correspondant Stéphane Bussard.

endredi, Mitt Romney et Barack Obama ont tenté de séduire les électeurs d’Ohio. « Nous avons appris que les entreprises avaient embauché plus de personnes en octobre que lors de chacun des huit mois précédents », s’est réjoui le président américain à Hilliard, dans la banlieue de Columbus, la capitale de l’Ohio. « Notre combat continue, il nous faut encore progresser », a-t-il concédé alors que le taux de chômage a augmenté de 0,1 point, à 7,9 % de la population active.

C’est sur ce chiffre que Mitt Romney a préféré s’attarder. Le républicain a affirmé que ces statistiques constituaient un « triste rappel » du fait que l’économie du pays est « quasiment au point mort ». « Mardi, les Etats-Unis vont effectuer un choix entre la stagnation et la prospérité », a-t-il lancé.

Obama en tête dans les sondages

Selon les résultats d’un sondage publié vendredi, le président américain a six points d’avance sur son concurrent dans l’Ohio (51-45). La même enquête, publiée par NBC News/Wall Street Journal/Marist, précise qu’Obama devance Romney de deux points (49-47) en Floride, un autre État clé. Enfin selon un sondage CNN-ORC, Obama aurait 3 points d’avance en Ohio (50 – 47).

Ohio, l’État clé par excellence

Le président a prévu de revenir chaque jour jusqu’à lundi dans l’Ohio. La carte électorale est telle cette année que Mitt Romney doit presque impérativement remporter l’Ohio s’il souhaite déloger Obama de la Maison Blanche lors de l’élection de mardi. À défaut, il devrait enlever quasiment tous les autres États clés.

http://www.lesoir.be/146980/article/actualite/monde/2013-01-01/sénat-américain-approuve-l’accord-sur-«-mur-budgétaire-»

Lundi soir, au terme de tractations ardues, le vice-président Joe Biden et le chef de la minorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell, ont conclu un compromis qui augmenterait les impôts des Américains les plus aisés et repousserait de deux mois toute coupe claire dans les dépenses.

Le Sénat, lors d’un vote qui s’est achevé peu après 02H00 du matin (07H00 GMT), a voté en faveur de cette proposition avec une majorité écrasante de 89 voix contre huit.

Si la Chambre donne à son tour son feu vert au texte, a priori mardi, les Etats-Unis éviteront les conséquences du « mur budgétaire ». Il s’agit d’un cocktail de hausses d’impôts dues à l’expiration des cadeaux fiscaux hérités de la présidence de George W. Bush et de coupes drastiques dans les dépenses, fruit d’un marchandage datant de 2011 au Congrès.

La collision avec le « mur budgétaire » a eu techniquement lieu lors de l’entrée dans l’année 2013 sur la côte Est des Etats-Unis (05H00 GMT mardi), mais ses effets seront limités dans l’immédiat, puisque mardi est un jour férié.

Je ne comprend pas tout mais je me rend compte que si Obama ne réagit pas face à ce " mur " c'est non seulement une bombe anti-démocratique mais également une fusée contre l'économie mondiale .

jeffry a écrit:Je ne comprend pas tout mais je me rend compte que si Obama ne réagit pas face à ce " mur " c'est non seulement une bombe anti-démocratique mais également une fusée contre l'économie mondiale .

Tu sais, c'est un peu comme partout...

Le "mur budgétaire" c'est une sorte de point de "non retour". On ne peut pas aller plus loin...
A partir de là il faut se mettre d'accord sur ce qu'il faut faire.
Sans accord, c'est environ 2.000 dollars de moins par ménage dans la classe moyenne américaine et des coupes sombres dans les soins de santé etc...
Il en va de même pour les dépenses publiques dans l'enseignement, dans l'armée etc...

Cette perspective plomberait l'économie américaine au niveau de la consommation des ménages, et donc de l'emploi qui s'en suit...
C'est la récession assurée...

Dans ce débat, on trouve les Démocrates qui veulent assurer la consommation possible pour un plus grand nombre et les Républicains qui veulent préserver les plus grandes fortunes en conservant certains privilèges de la période Bush.

A un moment donné, ce n'est plus possible!
Les gens fortunés ne peuvent pas conserver leurs privilèges si globalement la société ne fonctionne plus. Ils vont se payer avec quoi?

http://www.lesoir.be/147787/article/actualite/monde/2013-01-02/usa-calme-avant-tempête

USA : le calme avant la tempête ?

Le Congrès américain a adopté mardi soir une loi évitant au pays la cure d’austérité du « mur budgétaire ». Ce vote constitue une victoire pour Barack Obama sur la fiscalité face aux républicains, mais repousse seulement de quelques semaines d’autres dossiers épineux.

La presse américaine rassurée à moitié

La presse américaine a réagi de manière mitigée à l’accord pour faire face au « mur budgétaire ». Le Washington post a qualifié la loi de « petit lot d’accords imparfaits (…) Un accord nécessaire mais qui ne solutionne pas les déficits futurs ».

Pour le New-York Times, cet accord « semble relancer le débat au sein du parti démocrate à propos du leadership d’Obama et de ses compétences en tant que négociateur ». Un Obama plus ou moins convaincant selon les points de vue.


Un des piliers de la campagne d’Obama


Peu après le vote mardi soir, le président Obama a crié victoire. « L’un des piliers de ma campagne présidentielle était de changer un code des impôts qui était trop favorable aux riches aux dépens de la classe moyenne », a-t-il déclaré. « Ce soir, nous l’avons fait grâce aux voix des démocrates et des républicains au Congrès », a ajouté le président des Etats-Unis juste après que la décision ait été entérinée.

Une partie des républicains a accepté de voter pour ce dispositif, malgré leur rejet de principe de toute hausse de la pression fiscale, car l’alternative aurait été le « mur budgétaire », des hausses d’impôts pour la quasi-totalité des contribuables et des coupes claires dans les dépenses de l’Etat fédéral, en particulier de défense.

Cet accord est le fruit de négociations acharnées depuis des semaines à Washington. C’est la première fois depuis 40 ans que le Sénat a été obligé de travailler pendant la nuit de la Saint-Sylvestre. Le compromis avait été négocié par le vice-président Joe Biden et le chef de la minorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell.


Les Bourses commencent 2013 sur les chapeaux de roue


Soulagées par cet accord de dernière minute, les Bourses européennes et asiatiques ont commencé l’année 2013 sur les chapeaux de roue. En milieu de journée, Madrid et Milan bondissaient de plus de 3 %, tandis que Paris, Londres et Francfort gagnaient plus de 2 %. A Hong-Kong, les marchés ont clôturé la première séance de l’année sur un bond de 2,89 %. Avant l’ouverture à 14H30 GMT, l’indice Dow Jones Industrial Average affichait une nette tendance à la hausse avec une avance de 1,48 % et le Nasdaq, à dominante technologique, de 2,06 %.

Le pétrole a lui aussi ouvert en nette hausse mercredi à New York. Vers 14H15 GMT, le baril de « light sweet crude » (WTI) pour livraison en février gagnait 1,74 dollar à 93,56 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

En cas de non-accord sur le « mur budgétaire », les Etats-Unis auraient été plongés dans une cure d’austérité forcée potentiellement dommageable pour la consommation d’énergie.


Une victoire partielle…


Appelé fiscal cliff en anglais, il est traduit par « falaise fiscale » ou encore par « mur budgétaire ». Concrètement cette expression signifie que si aucune loi ne changeait le 31 décembre, le déficit budgétaire des États-Unis aurait été plombé automatiquement de 607 milliards de dollars pour 2013. 400 milliards de dollars auraient dû être économisés dans les dépenses publiques (les budgets de tous les ministères étant alors rabotés de 10 %). Les impôts auraient augmenté pour tous les américains (de 10 à près de 40 % d’augmentation).

Les conséquences ? Une austérité pénalisante pour les USA mais pour le reste du monde également.

Même si un accord a été trouvé à propos du fiscal cliff, un durcissement budgétaire s’annonce quoiqu’il arrive aux USA puisqu’aucune solution n’a été trouvée pour les problèmes de fond. Son ampleur, elle, est encore inconnue. La solution pour y faire face ? Une réduction modérée des dépenses publiques et des impôts revus à la hausse. Des mesures qui auront des conséquences sur la croissance, qui ne pourra atteindre les 3 % en 2013 selon les analystes.

Mon avis...

Je pense qu'on ne mesure pas encore à quel point les années Bush ont été une catastrophe planétaire!

La guerre en Irak a favorisé certaines entreprises américaines au niveau de contrats pétroliers, tout en plongeant le déficit public américain.
Cette guerre a vraiment été celle d'une caste de profiteurs au détriment de tout le monde.

Démocrate a écrit:Mon avis...

Je pense qu'on ne mesure pas encore à quel point les années Bush ont été une catastrophe planétaire!

La guerre en Irak a favorisé certaines entreprises américaines au niveau de contrats pétroliers, tout en plongeant le déficit public américain.
Cette guerre a vraiment été celle d'une caste de profiteurs au détriment de tout le monde.

Les années Bush.... X 2 !!!

http://www.lesoir.be/150243/article/actualite/monde/2013-01-07/obama-nomme-hagel-au-pentagone-et-brennan-à-cia

Le président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé lundi qu’il nommait l’ancien sénateur républicain Chuck Hagel comme secrétaire à la Défense et son conseiller antiterroriste John Brennan pour diriger la Centrale américaine du renseignement (CIA).


Hagel, « le défenseur de nos soldats »


Pour Barack Obama Hagel est « le leader que nos soldats méritent . C’est un patriote américain. Il s’est engagé dans l’armée et a été volontaire pour aller au Vietnam », a rappelé le président à propos de l’ancien sénateur du Nebraska, âgé de 66 ans. Blessé au combat et décoré, Chuck Hagel « serait le premier engagé sorti du rang à devenir secrétaire à la Défense », a remarqué le président, en saluant un « défenseur de nos soldats, de nos anciens combattants et des familles de militaires ».

« Chuck sait que la guerre n’est pas une abstraction. Il sait qu’envoyer de jeunes Américains pour combattre et être blessés dans la poussière et la boue est quelque chose que nous ne faisons que lorsque c’est absolument nécessaire » a encore dit Obama qui, comme Hagel, s’était opposé à la décision par l’administration républicaine de George W. Bush d’envahir l’Irak en 2003.


Brennan « combinaison de force et d’intelligence »


Le président a aussi chanté les louanges John Brennan, son proche collaborateur depuis quatre ans à la Maison Blanche, et sa « combinaison de force et d’intelligence ».

Notant que Brennan avait passé 25 ans de sa carrière à la CIA, Obama a estimé qu’il « sait ce que notre sécurité nationale requiert, des renseignements qui apportent les faits à ceux qui décident ». Dans sa lutte contre le terrorisme, « John a été inlassable », a assuré le président. « Les gens ici à la Maison Blanche travaillent dur, mais John est légendaire pour travailler encore plus dur ».


Le Sénat doit maintenant confirmer ces nominations


« J’exhorte le Sénat à entériner leurs nominations aussi vite que possible, pour que notre pays et les Américains puissent rester en sécurité », a déclaré M. Obama.

Les démocrates ne possèdent pas de majorité qualifiée à la Chambre haute du Congrès, nécessaire pour éviter une obstruction républicaine, et des voix de sénateurs républicains seront donc nécessaires pour que ces deux candidats puissent prendre leurs fonctions.


Hagel assure son « soutien total » à Israël


Chuck Hagel a assuré Israël de son « soutien total » alors que des élus républicains lui reprochent de n'avoir pas suffisamment défendu ce pays ou de s'être opposé aux sanctions contre Téhéran.
Il n'y a « pas la moindre preuve que je sois anti-israélien, pas le moindre vote (de ma ppart au Sénat, ndlr) qui aurait pu causer du tort à Israël », a affirmé l'ancien sénateur du Nebraska au journal local de cet Etat du centre des Etats-Unis, le Lincoln Journal Star.