Que lisez-vous en ce moment ?

Salut !
Je suis toujours avec mes homme-insectes, ils sont en train de droguer tous les humains qui les visitent avec des substances calmantes et doucement aphrodisiaques !

Epuisant!

Voilà, je termine, enfin et sans grand enthousiasme, le « Symbole perdu » de Dan Brown. De lui, j’ai encore « Deception Point » en attente mais je crois qu’il va conserver ce statut pour un long moment.

Je termine également « Pars vite et reviens tard » de Fred Vargas mais là, je vais abandonner le commissaire Adamsberg et tous les habitués de la place Edgar Quinet avec regret car j’ai passé un moment agréable en leur compagnie.

Maintenant, j’hésite entre « La Défense Lincoln » de Michael Connelly, « Faux Rebond » d’Harlan Coben ou « Miserere » de Jean Christophe Grangé alors je vais suivre la suggestion de Nadège et m’attaquer à « Shutter Island » de Dennis Lehane

Salut,
De Michael Connelly, j'ai lu tous ses livres jusqu'à Deuil interdit après, j'ai été lassée par son écriture. Mon préféré est : Créance de sang, mais Le Poète est très prenant aussi. D'Harlan Coben, j'ai lu : Ne le dis à personne et Disparu à jamais C'est sympa, mais ça manque de sociologie, je trouve. J'ai pas lu Jean Christophe Grangé. As-tu lu Henning Mankell ? C'est un auteur Suédois de polars que j'aime beaucoup.

Nadège a écrit:
As-tu lu Henning Mankell ? C'est un auteur Suédois de polars que j'aime beaucoup.

Non mais ce que je viens d'en lire sur wiki à l'air intéressant.

Il faudra que j'en parle à mon bibliothécaire et noter son nom pour un prochain passage chez les bouquinistes

Melocoton a écrit:
Je termine également « Pars vite et reviens tard » de Fred Vargas mais là, je vais abandonner le commissaire Adamsberg et tous les habitués de la place Edgar Quinet avec regret car j’ai passé un moment agréable en leur compagnie.

Bon, bon, à force... je viens de l'acheter et j'espère "accrocher" cette fois-ci.

Entretemps j'ai lu un bouquin sur: "Klaus Barbie et la gestapo en France". Franchement très mal écrit, mais ce n'est pas un souci vu que le but ici c'était de se donner une idée générale de faits de l'époque. Beurk!

Je termine Shutter Island. Une incursion dans le monde de la folie et un excellent thriller qui m’a passionné.

Merci à Nadège pour ce bon tuyau et dorénavant, je l’appellerai… Huggy

Je vais maintenant partir à la découverte d’un auteur aux talents multiples et à la bibliographie déjà bien remplie mais que j’aborde pour la première fois. Il s’agit d’Henri Loevenbruck, écrivain, chanteur et compositeur français, né en 1972 à Paris, dans le XIIe arrondissement. Ses parents, tous deux professeurs d’anglais et ayant vécu au Pays de Galles, lui transmettent dès son plus jeune âge leur amour pour la culture anglo-saxonne.
( http://www.henriloevenbruck.com/ )

Pour ce premier contact, j’ai choisi un roman paru en 2007 et qui me fera rester dans le monde du thriller et de la maladie mentale.



Ils lui avaient dit qu’il souffrait d’une schizophrénie paranoïde aiguë.
Mais Vigo Ravel le sait : les voix qu’il entend dans sa tête ne sont pas des hallucinations. Ce sont les pensées des gens. Les vôtres.
( http://www.henriloevenbruck.com/roman-syndrome.php )

Démocrate a écrit:Entretemps j'ai lu un bouquin sur: "Klaus Barbie et la gestapo en France". Franchement très mal écrit, mais ce n'est pas un souci vu que le but ici c'était de se donner une idée générale de faits de l'époque. Beurk!

A propos de Klaus Barbie, j’ai écouté il n’y a pas très longtemps, le document littéraire réalisé par Rolande Causse et qui relate l’arrestation, la déportation et le martyr des enfants d’Isieu.

Résumé

Le 6 avril 1944, la Gestapo de Lyon sous commandement de Klaus Barbie, arrête 7 adultes et 44 enfants de la colonie d'Izieu, parce qu'ils sont juifs. 42 d'entre eux - dont le plus jeune avait moins de cinq ans - sont exterminés au camp de la mort d'Auschwitz-Birkenau. En 1987, à quelques semaines du procès Barbie, c'est par une émission radio que Rolande Causse entend parler de la "maison d'Izieu", du couple Zlatin qui y cachait des enfants juifs. A partir de trois témoignages d'adultes ayant survécu à la rafle, l'écrivain pour la jeunesse décide de palier par un livre à l'absence d'un lieu de mémoire pour les enfants d'Izieu. Elle abandonne toute activité, se documente, écrit et parcourt la France à la rencontre d'une partie de ses 120.000 lecteurs.

Un extrait : http://www.zshare.net/audio/7966694926994645/

Salut, Mélo, c'est Huggy !!
Contente que Shutter island t'es plu. J'ai pas lu Henri Loevenbruck, mais sur le sujet, il y a un très bon livre de sf, c'est L'oreille interne de Robert Silverberg. Tu l'as lu ?
De mon côté, je n'avance pas d'une ligne...
Bonnes lectures.

Salut !
Je commence Les dames du lac de Marion Zimmer Bradley, le début me plait bien.
Sinon, Huggy a un tuyau pour Démo, dans le genre roman historiques sur la shoah, particulièrement bien documenté, et redoutablement bien écrit, il y a La mort est mon métier de Robert Merle, il parait que Fortunes de France du même auteur est très intéressant aussi mais, je ne les ai pas lus, c'est dans mai L.A.L. ( liste à lire )
Bonnes lectures.

Salut Huggy

J’ai lu « Les ancêtres d’Avalon » qui est sorti en 2004 et dont elle était présentée comme étant l’auteur, bien que posthume. Je n’avais pas été vraiment emballé mais il se peut que se soit dû au style de Diana L. Paxson qui a écrit le roman d’après les notes de Marion Zimmer Bradley. De plus, ce n’est pas bien malin de ma part de commencer le cycle par le dernier roman de la série même si celui-ci raconte l’histoire des origines d’Avalon mais, en fait, je l’avais reçu comme cadeau pour un de mes nombreux anniversaires.

Sinon, merci pour tes suggestions et je mets Robert Silverberg et Robert Merle dans ma liste des auteurs « à découvrir », encore que Merle ne me soit pas totalement inconnu.

"Pars vite et reviens tard" de Fred Vargas n'est pas mal du tout! On entre vite dans le sujet et le livre est bien structuré. En commençant par ce bouquin j'aurais eu une autre approche de l'auteure, plus positive.

La profession de "crieur public" des messages ramassés dans une boîte cela pourrait être amusant. A un euro le texto, je prends le risque dans les quatre villages de l'entité...

Je termine « Le Syndrome Copernic » d’Henry Loevenbruck qui traite de la manipulation de la personnalité de cobayes humains à des fins militaires.

Le sujet n’est pas neuf et la surprise n’est pas vraiment au rendez-vous mais ça se laisse lire agréablement même si ça ne révolutionne pas le genre.

Pour suivre, je crois bien que je vais enfin me décider à lire quelques San Antonio.

C'est vrai que l'oeuvre de Frédéric Dard aurait mérité que je m'y intéresse
voici quelques décennies mais il paraît que... il n’est jamais trop tard pour bien faire

Si je peux me permettre un conseil : choisis plutôt les anciens car les derniers sentent la production industrielle et sont un rien salaces.
"l faut tuer les petits garçons qui ont les mains sur les hanches" est un de ses chefs d'oeuvres

En ce moment je lis "J'ai peur des mouches" paru à la fin des années 50. J'avais déjà lu un truc ou deux il y a quelques années mais ça ne m'avait pas vraiment emballé et de nouveau, l'entousiasme n'est pas vraiment au rendez-vous

Je tuais justement des mouches cette nuit, j'en ai eu trois... dans le noir.

A la grenaille en tirant dans le tas ou avec une bombe à fragmentation du genre Vapona... c'est facile

Pensée du jour :

"Sale temps, les mouches pètent"
(Mao Tsé-Tsé Tung ou Pierre Desproges... j'sais plus trop )

Il y a plusieurs jours que j'ai terminé: "Pars vite et reviens tard" de Fred Vargas.
J'ai fort bien aimé. Plus structuré que l'histoire des "cercles bleus", j'ai bien aimé.
Puis en lisant l'histoire d'Adamsberg avec Camille, j'ai eu une image furtive...
Du Mélo là...

Allez, c'est reparti pour un lieutenant Eve Dallas de Nora Roberts.
Elle a trouvé un filon là. Avec sa brochette de personnages il lui suffit d'imaginer l'intrigue et de tous les mettre en scène. Le bouquin se construit.
Un truc qui m'énerve! Je ne les lis pas dans l'ordre, mais bien en fonction de leur arrivée en librairie. Et quel que soit le temps qui passe Eve est toujours mariée avec Connors depuis... un an!

Je viens de terminer le San Antonio et me décide pour un roman de Gilbert Bordes.

Là aussi c’est une première, n’ayant jusqu’ici rien lu de cet auteur qui a pourtant une bibliographie bien fournie.

Le silence de la mule




Mais quel est donc ce secret que Jeanne alias la Mule garde dans son silence ? Sait elle ou se trouve l'or des Rolandier ? C'est ce mystère qu'Antoine Rolandier essaiera de découvrir en "humanisant" la sauvageonne. Une pauvre fille sourde et muette, violentée, humiliée, abusée. Rendue à l'état d'animal à cause de ces maltraitances. Elle a été l'unique survivante de l'incendie du Moulin du Gué et par l'affection qu'elle liait à Paul le grand père, elle était au courant des secrets de famille.
Antoine qui veut reconstruire le moulin va oeuvrer de patience, percer les mystères et la carapace défensive de Jeanne. Avec la complicité de Blaise - le fils de Jeanne -, il va lui apprendre à lire et écrire... Mais cela sera t'il suffisant pour découvrir ou se cache l'or des Rolandier utile à la reconstruction du moulin familial ?

Gilbert Bordes a écrit un roman fort et bouleversant. D'une lecture aisée, facile on entre facilement dans son roman dès les premières pages et on ne lache plus Jeanne, Blaise et Antoine. On souffre avec Jeanne, on se met facilement à la place d'Antoine qui essaie de trouver des solutions pour aider cette pauvre femme. Un roman au suspens implacable jusqu'au bout, jusqu'à la dernière ligne !
(www.paperblog.fr)

Le silence de la mule

J’ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de ce roman plein de générosité et d’émotions, qui vous prend dès la première page et ne vous lâche plus. C’est mon premier Bordes mais ce n’est certainement pas le dernier.

Et, pour suivre, je viens d’exhumer un vieux Simenon paru en 1942 et réédité en 2009 chez « Folio - Policier »

Monsieur La Souris

Ce jour là, 23 juin 1938, depuis huit heures du soir, il pleuvait à torrent, une de ces pluies fluides qui semblent mouiller plus que les autres. Il y avait gala à l’opéra. J’y étais de service pour mon journal « Paris Soir » et à tout hasard, je fis un crochet par le poste de police …

Comme j’ai trouvé à l’emprunter à un ami, j’ai suivi le conseil de Nadège et me suis lancé dans la lecture du roman de Merle Robert : « La mort est mon métier ». Le livre, paru en 1952, est très prenant mais sombre et pour tout dire un rien déprimant.

Il s’agit d’une biographie romancée de la vie de Rudolf Höss, commandant des camps de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. C’est lui qui mit en œuvre l'élimination industrielle des déportés juifs (et Tziganes) en utilisant le Zyklon B dans un ensemble de chambres à gaz couplées à des fours crématoires afin de détruire les cadavres des victimes.

Après avoir témoigné à charge au procès de Nuremberg, il sera livré aux autorités polonaises. Jugé et condamné à mort par le Tribunal Suprême de Pologne, il sera pendu le 16 avril 1947 non loin du crématorium du camp d'Auschwitz.

Ce matin, j’ai terminé « La mort est mon métier » de Robert Merle et je ne peux que réitérer mes remerciements à Nadège pour son excellente suggestion et, à mon tour, en conseiller la lecture à tous ceux qui ne l’auraient pas lu.

Je crois avoir déjà dit combien j’avais apprécié la lecture du « Silence de la mule » de Gilbert Bordes alors je repique avec un autre de ses romans :

« La Malédiction Des Louves ».



En cette fin des années 1970, dans un village de Touraine, la fabrique dirigée d'une main de fer par Martial Peyrignac vit des heures sombres.
Mais l'intraitable chef d'entreprise semble n'en avoir cure et reste sourd tant à la proposition d'aide de son frère qu'aux revendications de ses employés. Un événement tragique vient alors empoisonner l'atmosphère, déjà délétère, du village : le corps sans vie du frère de Peyrignac est retrouvé près du moulin des Louves, jadis théâtre d'un fait divers sanglant. Un second crime, commis quelques heures à peine après le premier, plonge le village dans la stupeur.
C'est cette fois le maire du village, médecin et rival de Peyrignac, qui en est la victime. Comment ne pas soupçonner l'entrepreneur d'être à l'origine de ce double assassinat ? Quel lien existe-t-il entre ces meurtres et certains secrets, soigneusement dissimulés depuis la guerre, qui refont soudain surface ? Ce drame, inspiré d'une histoire vraie, offre à Gilbert Bordes une nouvelle occasion de démontrer qu'il est un maître dans l'art de scruter les travers de l'âme humaine.

Bonjour !
La mort est mon métier c'est un livre qu'on est heureux d'avoir lu, mais que l'on est pas pressé de relire !
J'ai terminé Les dames du lac mais, j'ai pas trop envie de lire les autres tomes, ça n'apprend pas grand chose à qui connait déjà un peu les légendes arthuriennes.
Donc, je lis Personne ne bouge de Denis Johnson, c'est un cadeau qui stagne depuis un an sur ma table de chevet ! Un policier simple et enlevé avec tous les clichés du polar, amusant !
Le silence de la mule je l'emprunterai à l'occasion à la biblio.
bonnes lectures.

Après « La Malédiction Des Louves » de Gilbert Bordes où je me suis laissé embarquer dans l’intrigue avec beaucoup de plaisir, je repars sur la lecture d’un deuxième roman d’Annie Degroote qui s’intitule « L'étrangère de Saint Petersbourg ». De cette romancière native des Flandres mais installée à Paris, j’avais déjà lu « Un palais dans les dunes » qui raconte l’histoire des années folles, sur la côte d'Opale, l'ascension d'une fille de pêcheur et le destin maudit du plus bel hôtel du monde le «Royal Picardy » au Touquet-Paris-Plage.


L'étrangère de Saint Petersbourg



La destinée d'une enfant du nord de la France dans la Russie d'Alexandre II, le 'Tsar libérateur'. La petite Blonde Vaneyck part avec son père, négociant lillois en lin, s'installer en Russie. Sa découverte du pays est un enchantement : Saint-Pétersbourg, Moscou, la campagne russe... Elle ne soupçonne pas encore que le faste peut masquer les pires complots. Protégée par la grande-duchesse, elle devient pensionnaire de l'illustre institut impérial de Smolny. Jeune fille ravissante et passionnée, son destin exceptionnel et dramatique se scellera autour de trois hommes : Un officier, Dimitri, Sergueï, le fils d'un ancien serf, et un inconnu qui guette tous ses faits et gestes... Alors que le souvenir de la conspiration contre Nicolas Ier - la fronde des 'décembristes' - est vivace, ses parents sont rattrapés par leur passé. Blonde est alors la victime d'un odieux chantage...

Salut !
J'ai terminé Le silence de la mule c'était pas mal, mais, bon, maintenant j'ai envie d'un polar bien noir ! à part ça, je ne suis pas encore fixée sur la suite de mes lectures, si vous avez des suggestions...
Bonnes lectures.

Salut Nadège,

Là, je viens de terminer "La ligne noire" de J-C Grangé et ça répond exactement à ce qu'on attend de ce grand maître du thriller.

http://www.jc-grange.com/html/biblio4_ligne.html